•  

    Ce jardin là...


    Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d’hiver, au détour d’une rencontre. 

    Le papa jardin et la maman jardin avaient fait ce qu’ils croyaient le mieux à faire pour ce petit jardin inattendu. Ils lui donnèrent de l’engrais, lui apportèrent leur présence, lui proposèrent leurs attentes et leurs demandes. Ils surveillaient jalousement les pousses. Si d’aventure quelque herbe folle poussait là, elle était aussitôt arrachée. 


    Il fallait que tout pousse droit. Sinon, que diraient « les autres » ? 

    Peu de mots étaient échangés. Pour ces parents là, il n’était pas nécessaire de parler, d’exprimer. Ils avaient la croyance que tout se vit en silence, à l’intérieur, à l’abri de « l’extérieur ». 

    Et le petit jardin avait grandi, comme cela, sans poser de questions, en jardin obéissant, sans repères, sans mots pour se dire, sans être entendu. 

    Plus tard, devenu grand, le jardin rencontra un jardinier extraordinaire qui avait dans son sac de fabuleux outils. Ces outils s’appelaient : 
    - oser se dire, 
    - oser dire non, 
    - oser recevoir, 
    - oser demander, 
    - se relier à soi, 
    - se relier aux autres, 
    - se relier à son histoire, 
    - utiliser les symbolisations, 
    - ne pas vouloir agir sur l’autre, 
    - agir à son bout de la relation, 
    - et d’autres encore… 


    Enfin le jardin sentit la vie venir en lui, belle, possible. 


    Dans sa terre, il retrouva ses demandes jamais dites, ses désirs jamais dits, ses besoins. Il entendit, derrière les souffrances, les blessures encore ouvertes. C’était tout cela qui faisait mal, qui empêchait les racines d’aller plus loin, vers l’eau, vers la vie. 


    Les choses changèrent quand le jardin s’autorisa enfin à être « l’auteur » de sa vie…

    Des fontaines jaillirent et arrosèrent la terre. Cette terre pouvait enfin laisser venir en elle un autre regard, d’autres possibles… 

    Avec, au plus profond du coeur de ce jardin, une infinie tendresse, claire comme l'eau de la fontaine au printemps, lumineuse comme le soleil d'été, chaude comme l'amour offert une nuit d'hiver, légère comme un vent d'automne quand le soir tombe, une douce tendresse pour le jardinier de la vie.


    Texte trouvé sur ce blog  




  • La chanson de la terre

    Cette chanson est un ardent appel à sauver notre planète.
    Même si on ne comprend pas les paroles, les images parlent par elles-même.
    Je ne suis pas fun de Michael Jackson, mais cette chanson mériterait d'être connue de tout le monde. 
    Le message est très fort, la musique, les voix d'accompagnement, le rendent encore plus intense.


    Michael Jackson - Earth song




    Traduction

    La Chanson De La Terre


    Qu'en est-il du lever du soleil
    Qu'en est-il de la pluie
    Qu'en est-il de toutes les choses
    Que tu as dit que nous devions gagner
    Qu'en est-il des champs de bataille
    A notre époque... . c'est fou
    Qu'en est-il de toutes les choses
    Que tu as dit être les tiennes et les miennes
    Ne vous êtes vous jamais arrêté pour voir
    Tout le sang que nous avons répandu précédemment
    Ne vous êtes vous jamais arrêté pour voir
    La Terre qui pleure et les rivages éplorés ?
     
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
     
    Qu'avons-nous fait au monde
    Regarde ce que nous avons fait
    Qu'en est-il de toute la paix
    Que tu as promis à ton fils unique
    Qu'en est-il des champs fleuris
    A notre époque... . c'est fou
    Qu'en est-il de tous les rêves
    Que tu disais être les tiens et les miens
    Ne vous êtes vous jamais arrêté pour voir
    Tous les enfants morts de la guerre
    Ne vous êtes vous jamais arrêté pour voir
    La Terre qui pleure et les rivages éplorés
     
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
     
    Je rêvais
    Je jetais un coup d'oeil au-delà des étoiles
    Maintenant je ne sais pas où nous sommes
    Bien que je sache que nous avons dérivé bien loin
     
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah
     
    Hey, qu'en est-il d'hier
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il des mers
    (Qu'en est-il de nous)
    Les cieux sont en train de s'effondrer
    (Qu'en est-il de nous)
    Je ne peux plus respirer
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il de la Terre saignante
    (Qu'en est-il de nous)
    Ne pouvons-nous pas sentir ses blessures
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il de la valeur de la nature
    (ooo, ooo)
    C'est le nombril de notre planète (1)
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il des animaux
    (Qu'en est-il de ça)
    Nous avons changé les royaumes en poussière
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il des éléphants
    (Qu'en est-il de nous)
    Avons nous perdu leur confiance
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il des baleines sanglotantes
    (Qu'en est-il de nous)
    Nous ravageons les mers
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il des chemins forestiers
    (ooo, ooo)
    Brûlés malgré nos appels
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il de la Terre Sainte
    (Qu'en est-il de ça)
    Déchirée par la croyance
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il de l'homme commun
    (Qu'en est-il de nous)
    Ne pouvons-nous pas le rendre libre
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il des enfants mourant
    (Qu'en est-il de nous)
    Ne pouvons-nous pas les entendre pleurer
    (Qu'en est-il de nous)
    Où nous sommes-nous trompés
    (ooo, ooo)
    Que quelqu'un me dise pourquoi
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il des bébés
    (Qu'en est-il de ça)
    Qu'en est-il des jours
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il de toutes leurs joies
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il de l'homme
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il de l'homme pleurant
    (Qu'en est-il de nous)
    Qu'en est-il d'Abraham
    (Qu'en est-il de nous)
    Que dire de plus sur la mort
    (ooo, ooo)
    Nous en foutons-nous ?
     
    Aaaaaaaaah Aaaaaaaaah


    Paroles orginales

    What about sunrise
    What about rain
    What about all the things
    That you said we were to gain...
    What about killing fields
    Is there a time
    What about all the things
    That you said was yours and mine...
    Did you ever stop to notice
    All the blood we've shed before
    Did you ever stop to notice
    The crying Earth the weeping shores?

    Aaaaaaaaaah Aaaaaaaaaah

    What have we done to the world
    Look what we've done
    What about all the peace
    That you pledge your only son...
    What about flowering fields
    Is there a time
    What about all the dreams
    That you said was yours and mine...
    Did you ever stop to notice
    All the children dead from war
    Did you ever stop to notice
    The crying Earth the weeping shores

    Aaaaaaaaaaah Aaaaaaaaaaah

    I used to dream
    I used to glance beyond the stars
    Now I don't know where we are
    Although I know we've drifted far

    Aaaaaaaaaaah Aaaaaaaaaaaah
    Aaaaaaaaaaah Aaaaaaaaaaaah

    Hey, what about yesterday
    (What about us)
    What about the seas
    (What about us)
    The heavens are falling down
    (What about us)
    I can't even breathe
    (What about us)
    What about the bleeding Earth
    (What about us)
    Can't we feel its wounds
    (What about us)
    What about nature's worth
    (ooo,ooo)
    It's our planet's womb
    (What about us)
    What about animals
    (What about it)
    We've turned kingdoms to dust
    (What about us)
    What about elephants
    (What about us)
    Have we lost their trust
    (What about us)
    What about crying whales
    (What about us)
    We're ravaging the seas
    (What about us)
    What about forest trails
    (ooo, ooo)
    Burnt despite our pleas
    (What about us)
    What about the holy land
    (What about it)
    Torn apart by creed
    (What about us)
    What about the common man
    (What about us)
    Can't we set him free
    (What about us)
    What about children dying
    (What about us)
    Can't you hear them cry
    (What about us)
    Where did we go wrong
    (ooo, ooo)
    Someone tell me why
    (What about us)
    What about babies
    (What about it)
    What about the days
    (What about us)
    What about all their joy
    (What about us)
    What about the man
    (What about us)
    What about the crying man
    (What about us)
    What about Abraham
    (What was us)
    What about death again
    (ooo, ooo)
    Do we give a damn


  • Responsabilité


    Croyants ou non, nous sommes d’abord des êtres humains. Et, en tant que tels, nous avons la chance de pouvoir observer les conséquences positives ou négatives de nos actes, à court terme ou long terme.

    Moralement, nous avons la grande responsabilité de nous occuper non seulement de nos semblables mais aussi des autres espèces d’animaux, des autres êtres sensibles ainsi que notre environnement. Par conséquent, nous devons essayer de mener une vie digne, d’être des personnes plus affectueuses. Notre vie individuelle, mais aussi notre famille et la communauté toute entière en tireront bénéfice.

    Préceptes du XIVè DALAI LAMA


    J'ai trouvé ce beau texte chez Krys et je me suis dit qu'il ferait une belle continuité à mon article précédent sur la mort des abeilles car nous avons tous notre part de responsabilités sur ce qui se passe en ce monde. Et comme le hasard fait bien les choses, en rendant visite à mon amie Verdinha, j'ai découvert  qu'elle avait écrit un joli poème et que ses pensées rejoignaient les miennes. Elle m'a gentiment permis de le partager avec vous. A vous deux, mes amies, je dis merci pour vos partages, vous êtes deux personnes géniales avec un grand coeur rempli de générosité. C'est un bonheur de venir sur vos blogs, on y trouve paix, amour, tendresse, tout ce qui manque tant dans ce monde.



    LA TERRE 


     

    Que dire de la Terre

    Ce paradis que Dieu nous a offert ?

    Elle fut jadis égayée de vert

    Et aujourd'hui envahie de déserts.

    Ce monde qui était fertile

    Nous l'avons rendue stérile

    En voulant perfectionner

    Nous avons génétiquement modifié.


    Une des délicatesses naturelles

    Qui a le doux nom de miel

    Obtint le nom de rare espèce

    Car ses ouvrières disparaissent


    De nos repas nous faisons des festins

    Alors que nos frères africains

    Sur leurs tables ne découvrent rien

    Et ne peuvent apaiser leur faim.


    Nous nous plaignons de tous les faits

    Et nos voisins cherchent la paix.

    Nous ne faisons rien contre la guerre

    Qui extermine nos frères.


    Nous étions libres de nos sentiments

    Nous sommes devenus esclaves de l'argent

    Qui passe avant toute générosité

    Face à tous les déshérités.


    Quand ouvrirons-nous les yeux

    Pour redevenir heureux ?

    Quand, de notre mémoire, le passé

    Sera pour toujours effacé ?

     

    Texte de Verdinha

     



  • Un Bienfaît n'est jamais perdu

    Un bienfaît n'est jamais perdu


    Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu'il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré  la faible lumière du jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l'air complètement affolée.

    Il s'arrêta devant la  Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était arrêté. Est-ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal ?

    Il pouvait voir qu'elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule. Bryan perçut sa peur.

    «Je vais vous aider Madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud...  Mon nom est Bryan Anderson».

    Il constata qu'elle avait une crevaison ; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule. Bryan s'accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu'en remplaçant le pneu, il s'était sali et blessé à une main.

    Pendant qu'il resserrait les écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole. Elle lui expliqua qu'elle était de St-Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.

    Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n'avait pas d'importance tellement avait eu peur, s'étant  imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s'il ne s'était pas arrêté.

    Bryan lui répondit qu'il n'avait pas à être payé. Ceci n'était pas un travail pour lui. Il n'avait fait qu’aider quelqu'un dans le besoin.  Dieu seul savait combien de fois des gens l'avaient aidé dans le passé.  Il menait  son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l’esprit d'agir autrement. Il lui  dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu'elle verrait quelqu'un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire ; et il conclut, "Souvenez-vous de moi".

    Il attendit qu'elle démarrât son véhicule pour s'en aller. C'était une belle journée froide, la vie n'était pas facile pour lui en ce moment, mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison.

    A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route.

    C'était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence. La serveuse l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés.

    Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu'elle était debout toute la journée. La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d'environ huit mois mais que ni l'effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur !

    La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.

    Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle  finit son repas, elle paya avec un billet de 100$. La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver.

    Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit :
    « Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu'un m'a aidée à m'en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu'il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d'amour de prendre fin avec vous.»

    Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. He bien ! Même s'il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir, la serveuse  décida de le faire un autre jour. Elle rentra chez elle,  et en se mettant au lit, elle pensa à l'argent et à ce que la vieille lui avait écrit. Comment la dame aurait–elle pu savoir qu'elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota  doucement à son oreille :
      « Tout ira bien. Je t 'aime, Bryan Anderson».


    Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU », les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.


    Ne laissez pas cette belle histoire se finir ici, prenez-là, faites la circuler à votre tour afin que cette chaîne d'amour se poursuive. Je l'ai faite suivre depuis chez Krys


  • Lettre qu'une grand-mère a fait parvenir à chacun de ses petits-enfants





    "Aujourd'hui est le premier jour du reste de ma vie et mes yeux se sont ouverts à la joie car je sais maintenant que des millions de petits bonheurs, sont là, pour moi en réserve et n'attendent que le moment où je les saisirai.

    Cette année, mes rêves et mes espoirs seront illimités car je sais qu'en fin de compte ils deviendront réalité. L'impatience ne m'envahira pas car je sais que chaque chose arrive en son temps et que rien n'arrive sans raison ou de façon prématurée.

    Je consacrerai mes efforts à la réussite, mais toujours dans la dignité et le respect de l'autre car je sais que lorsque viendra pour moi le temps de l'erreur humaine, on me pardonnera plus facilement mes fautes si j'ai su en faire autant.

    Je regarderai la vie de façon pragmatique, acceptant les changements et les idées nouvelles car je sais qu'on ne peut échapper à cette vie faite d'énergies diverses; c'est ce qui la rend si passionnante et si belle !

    J'accorderai volontiers ma confiance, mais tout en restant vigilante. Je ne soulèverai pas de doutes sans raison suffisante car je sais qu'il est plus facile d'ériger des barrières que de tenter de comprendre ce que ressentent les êtres.

    J'étendrai l'horizon de mes connaissances afin de mieux comprendre ce monde qui nous entoure car je sais que la connaissance est une arme puissante contre la haine et le mépris. Pour un monde meilleur, je sèmerai mon savoir à qui veut l'entendre et en tirer profit.

    Je fermerai la porte aux idées négatives, je n'écouterai pas les oiseaux de malheur car je sais qu'ils empoisonnent l'âme et nous empêchent de vivre si on leur prête une oreille attentive.

    Je laisserai beaucoup de place à l'humour et à la joie. Je changerai les ennuis en occasions de rire car je sais que tout passe et tout lasse. Voir les choses sous un angle plus serein, hâte une guérison ou permet de voir les choses d'une façon plus réaliste.

    Lorsqu'un malheur petit ou grand frappera, forte de mes espoirs et confiante dans l'avenir je l'aborderai avec sérénité car je sais que dans la joie ou la douleur, quoi qu'il advienne, au bout de la route le meilleur sera encore à venir."

    Auteur Inconnu





    J'ai découvert ce texte chez Krys
    . Je vous invite à aller visiter son blog, il est magnifique, rempli de douceur et de belles choses.

    Ce texte m'a interpellée, j'aimerais que toutes les grand-mères dont je fais partie, et tous les petit-enfants puissent le lire.







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