• BLEUET




    Nom scientifique :
    Centaurea cyanus

    Famille : Asteracées, Composées tubuliflores

    Synonymes :
    Casse-lunettes, aubifoin, blavette, blaverolle, blavéole, barbeau, ambifon, bleu-bleu, centaurée des montagnes, chevalot, cornaille, fleur de Zacharie

    Description :
    Plante herbacée bisannuelle, poussant dans les champs de céréales avec les coquelicots et les marguerites blanches, donnant de superbes bouquets champêtres. On le rencontre dans toute l’Europe, l’Asie et l’Amérique du Nord.

    Les tiges sont frêles et hautes de 0.60m en moyenne.

    Les feuilles sont vert blanchâtre, très étroites, allongées, divisées.

    Les fleurs sont bleues, très découpées, disposées en capitules, rappelant un peu l’œillet. Elles apparaissent de mai à juillet.

     Parties utilisées : la fleur, les graines, toute la plante.


    Composition chimique :
    La tige et les feuilles contiennent un glucoside, la centauréine, une substance colorante bleue, la cyanine, et les fleurs contiennent des dérivés flavoniques (l’apiine, la quercimétrine), des anthocyanosides.

    Propriétés :
    - Anti-inflammatoire particulièrement dans la sphère ORL, (tous les organes de la face, les sinus, les yeux,  les oreilles) et les poumons.
    - Anti-infectueux
    - Béchique,  pectoral,  (toux spasmodique, d’irritations, non productives),  émolliente (qui relâche et ramollit les tissus enflammés), facilite la respiration
    - Antirhumastimal,
    - Diurétique, dépurative
    - Astringent
    - Soins de la peau


     
    Indications :
    - Lavage oculaire, conjonctivite, blépharite, orgelet, irritation des paupières, faiblesse de la vue.
    - Lavage du cuir chevelu en cas de pellicules.
    - Bains de bouche en cas de stomatite, gingivite, aphtes.
    - La lotion de bleuet s’emploie sur le visage. Elle raffermit, tonifie et rafraîchit l’épiderme.
    - On emploie aussi le bleuet en usage interne dans le cas de goutte, rhumatismes, inflammations des reins, rétention d’eau, oedèmes de la synoviale.


    Utilisation :
    En externe :

    2 à 3 g de fleurs séchées en décoction dans 100 g d’eau froide, chauffer à feu doux jusqu’à ébullition, laisser reposer 10 minutes et employer tiède en lavages, compresses ou bains d’yeux.

    Dans l’antiquité, on disait que le bleuet soignait les yeux bleus ; le plantain soignait les yeux foncés. Si la couleur des yeux n’est pas nettement définie, le meilleur moyen est d’avoir recours à la recette du professeur Binet : 10 g de feuilles de plantain, 5 g de fleurs de bleuet, 5 g de mélilot. Verser dessus 150 g d’eau bouillante, infuser ¼ d’heure ; passer et exprimer ; prendre 2 ou 3 bains d’yeux avec une œillère en ouvrant l’œil dans le bain ou en lotions tièdes en changeant chaque fois le coton.

    Collyre astringent du Docteur Fort : 25 g de plantain, 25 g de fleurs de bleuet, 50 g d’euphraise. Laiser infuser 1 cuillère à soupe de ce mélange dans 100 g d’eau bouillante durant 30 minutes, filtrer, laver les yeux.

    En usage interne :

    20 à 30 g pour 1 litre d’eau bouillante. Infuser 10 mn, 1 à 3 tasses par jour entre les repas, dans le cas d’inflammations des reins, goutte, rhumatismes, diurétique.

    En teinture-mère, pas plus de 80 gouttes par jour.

    Dans le nord on fabrique une bière antirhumatismale en faisant macérer pendant 8 jours, 25 g de fleurs séchées dans 1 litre de bière. Boire 1 verre avant les repas en cas de crise. Continuer ce traitement durant 10 ou 15 jours.

    Les graines de bleuet sont purgatives : prendre 2 grammes dans 1 cuillère à soupe de miel à jeun le matin. En cas d’ictère ou de jaunisse prendre 4 grammes dans du miel pendant 4 jours.



    Mes sources : Secrets d'une herboriste de Marie-Antoinette Mulot
                              Nos grands-mères savaient de Jean Palaiseul
    Images prises sur le net.





  • Hier, Aujourd'hui et Demain


    Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne
    devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous
    faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.

    Le premier jour, c'est "hier", qui porte le fardeau de ses soucis,
    de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances
    et de ses chagrins. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis,
    les paroles prononcées. Hier est un jour révolu...

    L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est
    "demain", plein de grandes promesses, de piètres résultats, de
    malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre
    emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur
    ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne
    pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour...

    Il ne nous reste donc "qu'aujourd'hui". Tous nous pouvons
    livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons
    et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain, c'est deux
    terribles éternités, s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui. 

       Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous
    désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et de la
    crainte de demain...

     



     A chaque jour suffit sa peine !





    Je remercie Sérénité  qui m'a gentiment autorisée à copier son texte depuis son site http://www.chezserenite.com








  •  

     

    Chez le pédiatre

    Une dame et un bébé attendent patiemment le docteur pour le  premier examen du bébé. Le docteur arrive, examine le bébé, vérifie son poids et, d'un air un peu préoccupé, demande à la dame s'il était nourri au sein ou au
    biberon. ' Au sein ' répond-elle.
    ' Eh bien, déshabillez-vous jusqu'à la taille ' lui dit-il. Elle s'empresse
    de le faire. Puis il lui pince les mamelons, les presse, les palpe et lui
    frotte les seins dans tous les sens dans le cadre d'un examen très
    minutieux.
    En lui demandant de se rhabiller, il lui dit ' Pas surprenant que le Bébé
    ait un poids si faible. Vous n'avez pas de lait. '
    ' Je sais ' dit-elle. ' Je suis la grand-mère, mais je suis quand même
    contente d'être venue. '



    École primaire

     Réponses d’élèves à un examen de français

        
    1.       
    Soit la phrase : « le voleur a volé les pommes ». Où est le sujet ?

    Réponse :      En prison.

      

    2.       
    Quel est le futur de « je baille » ?

    Réponse :      Je dors.

      

    3.       
    Qu’est-ce que de l’eau potable ?

    Réponse :      C’est celle que l’on peut mettre dans un pot sur la table.

      

    4.       
    Qu’est-ce qu’est un oiseau migrateur?

    Réponse :      C’est celui qui ne peut se gratter que la moitié du dos.

      

    5.       
    Quoi faire la nuit pour éviter les moustiques?

    Réponse :      Il faut dormir avec un mousquetaire.

      

    6.       
    À quoi sert la peau de la vache ?

    Réponse :      Elle sert à garder la vache ensemble.

      

    7.       
    Pourquoi le chat a-t-il quatre pattes?

    Réponse :      Les deux de devant sont pour courir, les deux de derrière pour freiner.

      

    8.       
    Quand dit-on « chevaux » ?

    Réponse :      Quand il y a plusieurs chevals.

      

    9.       
    Qui a été le premier colon en Amérique?

    Réponse :      Christophe.



    10.       
    Complétez les phrases suivantes.

    a)           À la fin, les soldats en ont assez...

    Réponse :      d’être tués.

    b)           Je me réveille et à ma grande surprise ...

    Réponse :      je suis encore vivant.

    c)            La nuit tombée ...

    Réponse :      le renard s’approcha à pas de loup.

     

    11.       
    L’institutrice demande : « Quand je dis ‘je suis belle’ quel temps est-ce ? »

    Réponse :      Le passé, madame.



    12.       
    Pourquoi les requins vivent-ils dans l’eau salée ?

    Réponse :      Parce que dans l’eau poivrée, ils tousseraient tout le temps.





  • Pour ceux qui apprécient la bonne cuisine et qui aiment innover, j'ai voulu présenter le menu que nous avons choisi lors du mariage. 

    Afin de rompre la monotonie des menus de fête classiques, nous avons fait appel aux services d'un traiteur pakistanais qui nous a préparé un excellent repas. Si vous passez un jour dans la région, Ain, nord de la Haute-Savoie, n'hésitez pas aller dans son restaurant à Ornex 01210, (tout près de Genève, dans le pays de Gex).
    Vous trouverez tous les renseignements sur son site internet, je me permets de lui faire un peu de publicité car il le mérite, il est très accueillant et sa cuisine est excellente, et avis aux dames, il n'y a que des serveurs dans ce restaurant...
    http://www.rajpoute.fr


     

    Voici le menu servi en buffet à volonté :

    Apéritif :

    Cocktail Rajpoute (vin blanc, sirop de rose, crème de framboise, de cassis, gin et vodka)

    Entrées :

     

    CHICKEN TANDOORI - Poulet mariné aux épices et grillé

    SHEESH KABAB - Agneau hâché en brochette avec menthe, coriandre, oignons, herbes
    et 
    épices (au milieu de l'assiette)

    SAMOSA - divers légumes à la farine de blé et aux épices (triangle dans l'assiette)


    GAMBAS SHAI TANDOORI - Gambas grillés au four

    PAKORA - Beignets de pommes de terre, épices, farine de pois chiches

    BHAJA - Beignets d'oignons à la farine de pois chiches

    Le tout était accompagné de 3 sauces différentes, l'une douce et sucrée, excellente, la seconde moyennement épicée et la 3ème très épicée

    ***************

    Sorbet mangue, alcool de mangue

    ***************

    Plats : 



    ECREVISSES MALAI - Ecrevisses décortiquées, sauce crème fraîche, raisins, ananas, nois de cajou, amandes

    CREVETTES MADRAS - Crevettes décortiquées, sauce relevée et épices

    KAMARI - Noix de Saint-Jacques, sauce noix de cajou, épices, fruits exotiques séchés ( dattes, mangue, melon, poire, gingembre)

    CHANA PULLAO - Riz basmati pois chiche

    AUBERGINES - grillées avec épices oignons et tomates

    ***************

    Pour cette partie je n'ai malheureusement pas de photos.

    BOEUF MASSALA - Boeuf épicé avec des aromates frais et petits pois

    CHICKEN TIKKA-MASSALA  - Poulet désossé, mariné, grillé au four, sauce du chef

    MATAR PULLAO - Riz basmati petits pois

    ***************

    Du LASSI-MANGUE accompagnait le repas (Yaourt-mangue)

    ***************

    Dessert (traditionnel)

    Pièce montée
    Salade de fruits
    Champagne
    Café





                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   

  • Le sens de la fête de l'assomption



    Parmi les fêtes mariales apparaît, dès le Ve siècle, l’Annonciation au 25 mars. La fête de la Dormition ou de l’Assomption de la Vierge remonte au VIe siècle, témoin irrécusable de la croyance de l’Église sur ce point. Enfin, la Nativité de la Vierge, au 8 septembre, universellement célébrée en Orient dès le VIIe siècle, ne le fut que depuis le XIe en Occident.

    La fête de l’Assomption célèbre tout à la fois la mort, la résurrection glorieuse, l’entrée au ciel et le couronnement de la bienheureuse Vierge Marie. On dit assomption (d’un mot latin qui signifie enlever) et non ascension (monter) pour marquer que Marie fut enlevée au ciel, en corps et en âme, en vertu d’un privilège particulier. Cette fête fut célébrée à partir du Concile d’Éphèse (431) qui avait proclamé Marie Mère de Dieu. Fixée au 15 août, au commencement du VIe siècle, elle s’enrichit d’une vigile dès le début du VIIIe siècle. Elle a donc toujours été un jour de fête dans l’Église, surtout en France, à partir du voeu de Louis XIII, puis dans l’Église universelle, à partir de 1950, année de la proclamation du dogme de l’Assomption par le Pape Pie XII. Comme pour toutes les fêtes chrétiennes, il faut en chercher l'origine dans la vie du Christ. Si Marie est aujourd'hui honorée d'une façon toute particulière, c'est parce qu'elle a accepté d'être la Mère du Sauveur. L'humble fille de Nazareth à qui l'ange Gabriel a annoncé qu'elle serait la mère du Christ a répondu "Oui". Marie a accueilli dans sa chair, celui qui est l'origine de toute vie. Les Évangiles sont d'une discrétion étonnante sur Marie. Il faut beaucoup d'attention pour apercevoir sa figure, car le cœur du message des Évangiles, c'est la Révélation d'un Dieu Père par son Fils Jésus. Si les Évangiles ne s'attardent pas sur Marie, celle-ci n'en est pas moins présente auprès de son Fils, comme à Cana ou bien encore au pied de la Croix. Marie est " la servante du Seigneur " comme le dit le Magnificat. Marie accompagne la vie de Jésus car elle est à sa manière une disciple. Une femme qui a su écouter la Parole de Vie et se mettre à son service.

    Marie est désignée comme la première des croyantes parce qu'elle a cru en la venue du Christ. La fête de l'Assomption est issue de cette " logique " de foi. Si Marie est la première de ceux qui ont placé leur foi en Jésus, il est naturel qu'en elle soit manifestée avant tout autre ce en quoi elle a vraiment cru. Or, la Résurrection de la chair fait partie de sa foi. L'Assomption est la célébration de l'accueil en Marie de la vie éternelle jusque dans sa chair.

    Marie est une femme d'Israël. Elle a vécu sa condition humaine pleinement mais sans le péché. La solidarité avec l'humanité est cependant totale. Sa vie de jeune fille, sa vie de mère, a été marquée par les joies, les souffrances, les peines et aussi par la mort. Marie n'a pas échappé à la mort. Comme son Fils elle a assumé l'ensemble de la condition humaine. Mais, sa vie a été remplie par la présence de l'Esprit de Dieu. Marie après sa mort- nos frères chrétiens d'Orient appellent cette fête du nom de Dormition- a été enlevée à la vie terrestre pour entrer d'emblée dans la vie en Dieu. Voilà le mystère de la fête de l'Assomption. C'est un résumé du parcours du croyant. Si je place ma foi en Jésus ressuscité, je suis destiné corps et âme à vivre dans le sein de Dieu. Et Marie fut la première à vivre cela.

    Souvent, une confusion dans les mots : Ascension, Assomption. En fait, ils sont très proches. L'Ascension, où montée au Ciel de Jésus-Christ est commémorée 40 jours après Pâque, après la Résurrection.

    http://www.assomption.org/Presentations/FeteAssomption.htm






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