• Magnifique chanson de Nicolas Ciccone, qui nous parle de l'importance d'un ami (ou une amie)

     

     

     

    Un ami


    On peut perdre son travail Lorsqu'on a des ratés
    On peut perdre son crédit
    Lorsqu'on est endetté
    On peut perdre sa mémoire
    On peut perdre sa maison
    Perdre sa fougue
    Et même perdre sa raison
    On peut perdre sa richesse
    Sur un seul coup de dé
    On peut perdre sa jeunesse
    Comme on perd une clé
    On peut perdre son courage
    Dans le fond d'une bouteille
    Perdre ses rêves ou son âme
    C'est pareil

    Mais un ami c'est pour la vie
    Quand tout s'écroule
    Quand rien nous réussit
    Un vrai ami, malgré le froid
    Ça reste là

    On peut perdre sa route
    A cause d'un faux détour
    On peut perdre son coeur
    A cause d'un vieil amour
    On peut perdre sa vie
    A vivre dans le passé
    On perd même parfois le goût d'aimer

    Mais un ami c'est pour la vie
    Quand tout s'écroule
    Quand rien nous réussit
    Un vrai ami, malgré le froid
    Ça reste là, ça reste là !
    Car un ami, c'est bien plus fort
    Plus fort que tout
    Même plus fort que la mort
    Un vieil ami, quand tout est gris
    Ça nous sourit

    On peut perdre son honneur
    Lorsqu'on est humilié
    On peut perdre son calme
    Lorsqu'on est bousculé
    On peut perdre son temps
    A trop compter les heures
    On perd tout lorsqu'on vit dans la peur

    Mais un ami c'est pour la vie
    Quand tout s'écroule
    Quand rien nous réussit
    Un vrai ami, malgré le froid
    Ça reste là, ça reste là !

    Car un ami, c'est bien plus fort
    Plus fort que tout
    Même plus fort que la mort
    Un vieil ami, quand tout est gris
    Ça nous sourit



     


  • Solitude



    Solitude, sais-tu pourquoi je t'aime ?

    Solitude, sais-tu pourquoi je t'attends ?
    Solitude, sais-tu pourquoi je t'espère ?
    Solitude, sais-tu pourquoi je t'ai apprise ?
    En toi, je trouve le refuge face au regard étranger,
    En toi, je trouve le silence face à l'inexplicable,
    En toi, je trouve la paix face à l'épuisement,
    En toi, je trouve celle que je suis devenue.

    Avec toi, j'ai parcouru des chemins inconnus,
    Avec toi, j'ai parcouru l'espoir et la désespérance,
    Avec toi, j'ai parcouru la vie et la souffrance,
    Avec toi, j'ai appris à tout réapprendre.

    Alors, Solitude, quand ma main tu lâcheras,
    Et qu'une main nouvelle viendra se tendre,
    Alors, Solitude, souvent mon cœur reviendra,
    Car pour aimer, il faut savoir attendre.

    Elisabeth Lafont






    Certains la redoutent, d'autres l'aiment, parfois elle fait le plus grand bien, elle aide à se retrouver soi-même quand ça va mal. Parfois elle fait aussi plonger au fond du gouffre quand elle devient trop pesante, parfois elle pousse aussi à devenir cruel, très cruel.

     



  • Le printemps est enfin arrivé, de son soleil radieux et de son ciel lumineux il emplit d'allégresse nos coeurs assombris par un si long hiver. 
    J'ai choisi ces quelques poèmes en signe de bienvenue.



    Premier sourire du printemps

    Tandis qu'à leurs oeuvres perverses
    Les hommes courent haletants,
    Mars qui rit, malgré les averses,
    Prépare en secret le printemps.

    Pour les petites pâquerettes,
    Sournoisement lorsque tout dort,
    Il repasse des collerettes
    Et cisèle des boutons d'or.

    Dans le verger et dans la vigne,
    Il s'en va, furtif perruquier,
    Avec une houppe de cygne,
    Poudrer à frimas l'amandier.

    La nature au lit se repose ;
    Lui descend au jardin désert,
    Et lace les boutons de rose
    Dans leur corset de velours vert.

    Tout en composant des solfèges,
    Qu'aux merles il siffle à mi-voix,
    Il sème aux prés les perce-neiges
    Et les violettes aux bois.

    Sur le cresson de la fontaine
    Où le cerf boit, l'oreille au guet,
    De sa main cachée il égrène
    Les grelots d'argent du muguet.

    Sous l'herbe, pour que tu la cueilles,
    Il met la fraise au teint vermeil,
    Et te tresse un chapeau de feuilles
    Pour te garantir du soleil.


    Puis, lorsque sa besogne est faite,
    Et que son règne va finir,
    Au seuil d'avril tournant la tête,
    Il dit : " Printemps, tu peux venir ! "

    Théophile Gautier




    Le printemps

    Le temps a laissé son manteau
                        De vent, de froidure et de pluie                    
    Et s'est vêtu de broderies,
    De soleil luisant, clair et beau

    Il n'y a bête, ni oiseau
    Qu'en son langage ne chante ou crie
    Le temps a laissé son manteau
    De vent de froidure et de pluie

    Rivières, fontaines et ruisseaux
    Portent en livrée jolie
    Gouttes d'argent, d'orfèvrerie
    Chacun s'habille de nouveau

    Charles d'Orléans (1394-1465)


    La noce des oiseaux
     

    Les arbres se sont habillés de couleurs pastels,
    Jonquilles, crocus ont bravé la fraîcheur du temps,
    Que déjà, les oiseaux publient leurs noces dans le ciel.
    Neiges et froidures sont parties : " vive le Printemps ! "




    Immense symphonie, où des millions de fleurs,
    Se mélangent en un jour, aux bourgeons de velours
    D'un coup de baguette magique : le ciel sort ses couleurs
    Pour éblouir nos yeux, il devient troubadour.



    Dans un ballet de cabrioles fantastiques
    Les oiseaux dansent, s'accouplent et préparent leur nid,
    Guidés par une force invisible et mystique,
    Leur chant monte en hommage : au Maître de Symphonie.
     
     

    Les oiseaux se sont embrassés sur les branches,
    Et des angelots coquins ont ajusté leurs flèches...
    Etrange ! tout ce que le Printemps en un jour change !
     
     

    Les arbres se sont habillés de couleurs pastels,
    Tandis que sous leurs branches les amoureux de mèche,
    Se content fleurette quand roucoulent les tourterelles.

    (Jean-Claude Brinette)










  •  



    Ce matin j'ai eu un brin de nostalgie, une chanson pour les mamies m'est revenue en mémoire, elle a bercé mon enfance de petite Lorraine.
    C'est en allemand, mais la voix de Heintje, ce tout jeune chanteur de 12 ans ne laisse pas indifférent, même si on ne comprend pas les paroles. Je vais cependant essayer de mettre une traduction la plus fidèle possible. Ca fait plus de 30 ans que je n'ai plus fait d'allemand. Ca va me faire un petite révision...
    Heintje est né en 1955, aux pays-bas il a chanté sa première chanson, Mama, en 1967. La plupart de ses chansons ont pour thème la maman, la grand-mère et l'amour. Il a eu un très grand succès, particulièrement en Allemagne.
    Je crois qu'il chante encore, il vit en Belgique et s'appelle Heinz Simon.

    Voici la Vidéo pour ceux qui veulent faire connaissance avec ce mignon petite garçon.





    Texte de la chanson en Français :

    Ma Mamie chérie, ma gentille Mamie,
    Ah ! si je ne t'avais pas, ma Mamie,
    Ce monde serait
    Si triste et vide,
    Car une Mamie comme toi, ça n'existera plus jamais.

    J'ai la meilleure des Mamie,
    La plus gentille du monde,
    Chez elle j'ai le droit de tout faire
    Comme ça me plait
    Et si Maman gronde
    Ah ! tu le gâtes encore
    Alors Mamie sourit tendrement
    Et dit, j'ai bien le droit

    Ma Mamie chérie, ma gentille Mamie,
    Ah ! si je ne t'avais pas, ma Mamie,
    Ce monde serait
    Si triste et vide,
    Car une Mamie comme toi, ça n'existera plus jamais.

    Dans la petite chambre de Mamie,
    J'aime m'asseoir auprès d'elle,
    Elle connait les plus beaux contes,
    Et c'est eux qu'elle me raconte,
    Je caresse ses mains
    Et alors elle me regarde
    Et demande : qu'y a-t'il mon petit ?
    Je réponds tout doucement,

    Ma chère Mamie, ma gentille Mamie,
    Ah ! si je ne t'avais pas, ma Mamie,
    Ce monde serait
    Si triste et vide,
    Car une Mamie comme toi, ça n'existera plus jamais.


    Texte de la chanson en allemand :

    Oma so lieb, Oma so nett,
    Ach ! wenn ich dich, meine Oma nicht hätt,                    
    Wär’s auf der Welt                                                                  
    So traurig und leer,                                                                
    Denn eine Oma wie dich gibt’s nie mehr.                         

    Ich hab' die beste Oma,                                                          
    Die liebste von der Welt,                                                          
    Bei ihr da darf ich alles,                                                          
    Wie mir es grad gefällt,                                                             
    Und schimpft dann meine Mutti :                                          
    Ach du verwöhnst ihn noch,                                                
    Dann lächelt Oma zärtlich                                                     
    Und sagt ich darf das doch.                                                     

    Oma so lieb, Oma so nett,                                                     
    Ach ! wenn ich dich, meine Oma nicht hätt,                    
    Wär’s auf der Welt                                                                  
    So traurig und leer,                                                                
    Denn eine Oma wie dich gibt’s nie mehr.
                                                      
    In Omas kleinem Zimmer                                                          
    Sitz ich so gern bei ihr.
    Sie weiß die schönsten Märchen,
    Und die erzählt sie mir.
    Ich streichle ihre Hände,
    Und schaut sie mich dann an,
    Und fragt was ist mein Junge?

    Sag ich ganz leise nach :

    Oma so lieb, Oma so nett,
    Ach wenn ich dich, meine Oma nicht hät,
    Wär’s auf der Welt
    So traurig und leer,
    Denn eine Oma wie Dich gibt’s nie mehr.



    Ecoute avec ton coeur les souvenirs
    Qui reviennent et respire les odeurs
    Qu'autrefois il y avait chez grand-mère.
    Ils te chantent leur joie
    Car il font partie de toi.

     


  • Suis ta route...



    Allez, suis ta route, et surtout ne regarde pas en arrière..
    Suis ton intuition et ton coeur, ils te permettront d'avancer..

    Tu y trouveras des obstacles tout au long, tu trébucheras,
    Tu tomberas, mais relève-toi,
    et surtout ne regarde pas en arrière..

    Tu dois te construire une base solide,
    tu te tireras d'affaire..
    Ne fais rien dans la colère, tu retomberais à nouveau..

    Et pendant ton parcours fais-toi des amis,
    Et chaque jour deviendra extraordinaire,
    puisque cet ami te tiendra la main…
    t'ouvrira son coeur

    Si tu lâches prise, reprends courage,
    mais surtout ne regarde pas en arrière..
    Le chemin que tu laisses derrière toi est sûrement parsemé de chagrins et de désespoir,
    Devant toi se trouve le soleil, le bonheur, mais surtout la Vie..

    Chaque pierre que tu auras contournée dans ce chemin,
    Deviendra une magnifique fleur,
    Qui s'épanouira sur le bord de la route
    Et dégagera le parfum de la fraternité et la douceur humaine

    Sois tolérant et compréhensif, tu ne perdras pas l'équilibre..
    Accepte-toi tel que tu es, ne te sous-estime pas…
    Aime toi…

    Un pas de plus, suis ta route
    mais surtout ne regarde pas en arrière
    Essuie tes larmes, fais chanter ton coeur, souris à la Vie…
    Ta rancoeur disparaîtra et ton esprit s'apaisera,
    Reprends courage , mais surtout poursuis ta route..

    Ne te retourne pas et dis-toi que pour toi
    et pour le monde entier,
    ces moments difficiles et inévitables restent derrière,
    que cette route devient le chemin du bonheur..

    Que tu sèmeras à ton tour…
    Regarde ces magnifiques rayons de soleil,
    Ils sont pour toi !

    Poursuis ta route…

    Auteur inconnu, texte trouvé sur le net.







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