• La Chandeleur, 2 février

    Comme beaucoup de fêtes du patrimoine culturel judéo-chrétien, la Chandeleur trouve son origine dans un mixage des traditions païennes et des religions juive et chrétienne

    Les origines Païennes :

    L'une des origines de la Chandeleur remonte aux Parentalia romaines qui étaient une fête annuelle en l'honneur des morts, au cours de laquelle les romains veillaient à l'aide de cierges et de torches, en honorant Pluton et les dieux.

    On relie aussi la Chandeleur au dieu Pan. Durant une nuit les romains adorateurs du dieu Pan parcouraient les rues de Rome en portant des flambeaux.

    La chandeleur est aussi la survivance d'une croyance et d'une symbolique d'origine celte. La crêpe symbolise la roue solaire et le don aux divinités sans lequel le blé serait carié.

    Les origines juives et chrétiennes :

    La chandeleur se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. C'est la dernière des fêtes de Noël. D'ailleurs, en Provence la crèche est traditionnellement retirée à la Chandeleur.
    La
    Chandeleur - fête chrétienne - trouve son origine dans la fête des relevailles. 40 jours après la naissance de son enfant, les hébreux fêtaient les relevailles de la femme par une cérémonie de purification.


    Dans la religion catholique la
    Chandeleur est le jour de la présentation de Jésus au temple, 40 jours après Noël, jour de sa naissance. Cette christianisation de la Chandeleur se fait en 472, lorsque le pape Gélase Ier organise des processions aux chandelles qui symbolisent "Jésus lumière d'Israël". Les cierges sont bénis le jour de la Chandeleur en signe de purification.


    Selon la loi juive de cette époque (Lévitique, XII), une mère qui accouche d'un garçon était considérée comme impure pendant 7 jours et devait ensuite attendre la purification de son sang pendant 33 jours (donc pas question de se rendre dans un lieu sacré durant cette période). Après la
    naissance d'une fille, les délais étaient plus longs : la mère était impure pendant 14 jours et la purification avait lieu au bout de 66 jours !

    La circoncision du garçon avait lieu le huitième jour. La circoncision de Jésus se fête donc le jour de l'an. Cette célébration est aujourd'hui tombée en désuétude... plus personne ne pense à fêter la circoncision du petit Jésus ce jour-là !


    Des Chandelles à la Chandeleur :

    Cette célébration de la présentation de Jésus au Temple, célébrée en orient, a été instaurée à Rome à la fin du VIIe siècle par le pape Serge Ier. Pour commémorer la venue au temple de Marie et son fils, il organise une procession du forum à la basilique Sainte-Marie-Majeure. Et dans le cadre de cette procession, des chandelles étaient allumées.

    La chandeleur provient de l'expression festa candelarum : la fête des chandelles. Le latin candela désigne une bougie : il a donné en français la chandelle qui s'est effacée devant la bougie, d'origine algérienne. Bougie est en effet le nom d'une ville de Kabylie (Algérie), en arabe Bejaïa, qui fournissait au Moyen Âge de la cire pour fabriquer des chandelles. Mais au Québec, on allume toujours des chandelles ! Cependant, dans la célébration de la Chandeleur, il est plutôt question de cierges ! 

    La fête des chandelles, c'est la bénédiction des chandelles, ou des cierges.

    Définition du dictionnaire de l'Académie
    française de 1762 :
    Chandeleur : La fête de la Présentation de Notre-Seigneur au Temple, et de la Purification de la Vierge, ainsi nommée, à cause que ce jour-là il se fait une Procession où tout le monde porte des chandelles de cire, ou des cierges.



    Coutumes et traditions de la chandeleur
    Durant des siècles la Chandeleur était symbolisée par les chandelles et les crêpes. Aujourd'hui il reste surtout les crêpes.

     

    La Chandeleur et l'argent
    Une coutume de la chandeleur consistait à tenir une pièce d'or dans la main gauche, tandis que de la droite on faisait sauter la première crêpe. Si la crêpe retombe correctement retournée dans la poêle on ne manquera pas d'argent pendant l'année. Cette coutume varie selon les pays et les régions, ainsi dans certaines régions cette crêpe était ensuite pliée autour de la pièce d'or et placée sur le haut de l'armoire de la chambre du maître de maison. Les débris de la crêpe de l'an passé étaient alors récupérés et la pièce qu'elle contenait donnée au premier pauvre rencontré. Si on respectait tous ces rites on était assuré, disait-on, d'avoir de l'argent toute l'année. Aujourd'hui où les pièces d'or sont rares on a pris l'habitude de faire sauter les crêpes en tenant dans une main la pièce de monnaie la plus importante en possession de la famille.


    La chandeleur et les récoltes
    Dans d’autres régions les paysans ont pris l’habitude de lancer la crêpe par-dessus une armoire pour s’assurer de bonnes récoltes. Ailleurs il suffit de manger les disques d’or, « les crêpes » pour éviter que le grain ne pourrisse durant l’année.

    La chandeleur et les dictions du temps

    Selon un dicton populaire très ancien, l'ours sort de son hibernation à la Chandeleur. Si le temps est sombre, l'hiver se termine et l'ours peut définitivement sortir de sa tanière. Si le temps est beau et que l'ours voit son ombre, l'hiver se prolonge de 40 jours et son hibernation aussi.

    D'autres dictions vont dans le même sens :
    "Le jour de la Chandeleur, l'ours rit ou pleure"
    "Si fait beau et luit Chandelours, six semaines se cache l'ours"

      Il existe de nombreux dictons sur le temps à venir, déduits du temps qu'il fait le jour de la Chandeleur. Le soleil et le beau temps, le jour de la Chandeleur est toujours le signe que l'hiver se terminera tard :
    "Le soleil de la Chandeleur annonce hiver et malheur"
    Selon ce que nos vieillards ont dit, "si le soleil se montre et luit à la Chandeleur, croyez qu'encore hiver vous aurez".


    Les cierges de la chandeleur
    Les cierges sont bénis lors de l'office de la présentation, le jour de la Chandeleur. Certains, croyants ou non, prêtent des vertus surnaturelles aux cierges bénis de la Chandeleur, notamment pour les malades ou les mourants. Au Moyen-Âge, et dans les campagnes il y a peu, les cierges bénis étaient censés éloigner le diable des maisons et éloigner les dangers liés au feu.


    La vierge noire de la crypte de Saint-Victor
    Marseille
    connaît une tradition propre qui est la montée de la Vierge noire de la crypte de saint Victor dans la basilique supérieure le 2 février. Chaque année, sur la place Saint-Victor, l'archevêque procède à la bénédiction de la ville et de la mer, puis les fidèles en procession regagnent l'abbaye. La procession passe par le Four des Navettes qui est, lui aussi, béni ainsi que ses navettes. Le four des navettes est édifié sur le territoire de l'abbaye, il est la représentation symbolique de l'ancien four de l'abbaye. La Vierge est ensuite redescendue dans les cryptes où sont dites, pendant huit jours, des messes toutes les heures. Au retour de la procession, les fidèles rapportent les fameuses navettes qui sont traditionnellement mangées en Provence pour la Chandeleur. La navette est un biscuit en forme de barquette.

    Cette tradition de la Chandeleur est très ancienne, les pélerinages remontent à l'antiquité et Saint Victor date du IIIème siècle.


    Origine et symbolique de la crêpe

    Sa forme et sa couleur évoque le Soleil enfin de retour après la nuit de l'hiver.

    On dit aussi que le pape Gélase 1er, qui christianisa la Chandeleur, réconfortait les pèlerins arrivés à Rome avec des crêpes.

    Enfin la crêpe utilise le froment en quantité et les moissons ne sont alors plus très loin.
    Elle protège en outre la récolte de la moisissure et le foyer du malheur.

    De nombreux proverbes en témoignent :
    "Si point ne veut de blé charbonneux,
    mange des crêpes à la Chandeleur"

    Il faut faire sauter les crêpes avec une pièce dans la main afin de s'assurer prospérité toute l'année.
    Le tout aux lueurs des chandelles, qui par ailleurs éviteront à la cuisine de rester enfumée pendant 3 jours !

    Celui qui retourne sa crêpe avec adresse, qui ne laisse pas tomber à terre, celui-là aura du bonheur jusqu'à la Chandeleur prochaine.

    On fait sauter la première crêpe sur l'armoire, car elle ne moisira jamais. Cela peut sembler curieux mais il parait que ça préserve de la moisissure l'ensemble de la future récolte !

    En ville on se limitera à faire sauter les crêpes avec adresse avec une pièce dans la main, sauf si le lancer de crêpes sur armoire vous amuse.




     

          

     




    Images : http://petitemimine.centerblog.net/

    Textes :

    http://www.joyeuse-fete.com/chandeleur.html

    http://www.teteamodeler.com/culture/fetes/origine-chandeleur.asp

    http://www.lexilogos.com/calendrier_chandeleur.htm






  • Encore quelques photos de la Clusaz et une petite présentation de ce magnifique village :

    Au coeur des Alpes, en Haute-Savoie, La Clusaz, station du Massif des Aravis, à 1100m d'altitude,
    offre, en toutes saisons, des paysages splendides.
    En plus d'une station touristique renommée de sports d'hiver et d'été, La Clusaz a gardé son caractère authentique grâce à une agriculture forte, dans un environnement protégé. Le village est animé toute l'année par une vie locale et associative dynamique.






    Sur la route du Grand-Bornand






    Au Grand Bornand, village de moyenne montagne à 1000 m d'altitude.
    Sortie des skieurs de la station en fin d'après-midi





  • LEGUMES - HASARD OU COÏNCIDENCES



    La nature fait bien les choses, il suffit parfois de bien l'observer pour comprendre ses messages.

    J'ai extrait ces images d'un diaporama powerpoint reçu par mail, ma version d'over-blog ne prenant pas en charge les pps.































    Puisque le sujet est abordé par ce diapo, je vais le poursuivre par quelques explications et d'autres exemples de ce que l'on appelle la médecine des signatures : C'est Paracelse, (Aureolus Philippus Theophrastus Bombast von Hohenheim) (1493-1541), médecin, alchimiste suisse qui a élaboré et appliqué ce que l'on appelle la "médecine des signatures".

    Selon Paracelse, "Dieu et la nature ont inscrit en chaque plante le signe de son efficacité et de ses propriétés thérapeutiques".
    Pour les reconnaître, il suffit de savoir lire le grand livre de la nature et de la vie et l'on constatera alors qu'à chaque maladie correspond dans la nature un remède. Car, à ses yeux, "l'Univers est un et son origine ne peut être que l'éternelle unité. C'est un vaste organisme dans lequel les choses naturelles s'harmonisent  et sympathisent réciproquement".

       

    Ainsi, voici quelques exemples issus de ces théories :

    La pulmonaire (Pulmonaria officinalis) :








    aux feuilles parsemées de tâches blanches comme le tissu des poumons devait être souveraine contre les maladies pulmonaires.


    Les saxifrages
    (Saxifraga granulata) :







    attaquent aussi efficacement les calculs biliaires ou rénaux que les rochers sur lesquels ils poussent.


    Les tiges de bambou (Bambusa arundinacea)
     
    contribuent au redressement de la colonne vertébrale grâce à la succession des noeuds et entre-noeuds qui évoque une série de vertèbres.

    L'anémone hépatique
    (Hepatica triloba Chaix) 

    évoque la forme du foie par ses feuilles trilobées.

    Le haricot, (Phaseolus Vulgaris)

    par sa forme est prédestiné à guérir les maladies des reins.

    Le bulbe de la colchique (Colchicum autumnale)
     
    évoque un orteil goutteux. On en extrait la colchicine pour soigner la goutte.

    Le millepertuis (Hypericum perforatum) ou "herbe  aux piqûres"
    Le langage de la nature 
    possède des feuilles criblées de minuscules glandes transparentes, visibles à contre jour. Elles contiennent une essence capable de cicatriser les plaies ouvertes.

    La ficaire (Ficaria ranunculoides)
        Le langage de la nature
    encore appelée "herbe aux hémorroïdes" possède des racines renflées en forme de tubercules allongés qui rappellent étrangement des hémorroïdes. Elle entre aujourd'hui dans la composition de plusieurs spécialités antihémorroïdaires.

    La Chélidoïne (Chelidonium majus) ou herbe aux verrues ainsi que les plantes à latex jaune soigneront les maladies du foie, la jaunisse.





    Le pissenlit
    (Taraxacum officinale) et autres plantes amères seront également d'excellents médicaments du foie car le foie sécrète la bile et la bile est amère.





    Le lierre (
    Hedera helix) et la vigne (Vitis vinifera)
     
    plantes enveloppantes qui enserrent les troncs, feront maigrir en dissolvant la cellulite ; à moins que, comme le voulait la traditon chinoise, ils n'attachent les femmes à leurs maris.

    Les racines de ginseng, (Panax ginseng) également appelées
    Racine de vie - Racine du ciel - Plante-homme -  Homme-racine.
     

    en forme de cuisses sont naturellement désignées comme aphrodisiaques. Encore qu'il leur arrive souvent de simuler une forme humaine, ce qui les désigne alors comme une panacée.

    La noix : Juglans regia

    Le brou représente le cuir chevelu et par conséquent, le sel fabriqué avec ce brou est excellent pour les blessures de la tête. La coque ligneuse est à l'image du crâne et la fine peau jaune qui sépare entre eux les quartiers, à celle de la dure-mère et de la pie-mère qui entourent le cerveau ; l'amande elle-même porte la signature du cerveau et par conséquant lui est des plus bénéfiques et le protège du poison.  Elle sera indiquée dans le traitement de la démence et des maladies mentales en général.


    Le saule (Salix alba) 
     
    Le langage de la nature
    prospère dans les terrains marécageux et aime l'humidité. Il sera donc employé pour lutter contre les "fièvres des marais". Dans ce cas, la prescription était avisée puisque le saule contient de l'acide salicylique qui n'est autre que l'aspirine ! 

    J'ai tiré ces exemples du livre "la médecine par les plantes" de Jean-Marie Pelt et certaines images du net.
    Est-ce hasard, coïncidences, imagination, en tout cas comme le dit Jean-Marie Pelt, c'est un excellent moyen mnémotechnique pour retenir l'utilité de quelques plantes. 

    Pour ceux que les plantes intéressent je vous invite à  lire ses livres très intéressants.
    En voici un petit aperçu parmi sa vaste bibliographie (en vente à la fnac et dans toutes les librairies)



    La Médecine par les plantes  Drogues et plantes magiques  Les épices  Les vertus des plantes  Ensemble sauvons notre planète  Solidarités chez les plantes, les animaux et les humains
     

     


  • Petite visite de la Clusaz le 2 janvier 2009.

    J'aime beaucoup aller me promener dans ce charmant petit village des Aravis. C'est à 1 heure de chez moi. Mais ce jour-là, saison touristique oblige, c'était noir de monde et de voitures. Il nous a fallu une bonne heure pour trouver à se garer, assez loin du village, et le bon air pur était transformé en horribles odeurs d'essence tout au long des routes d'accès.













    J'espère que vous avez fait une bonne promenade dans cette belle montagne. Dans le prochain article je vous présenterai quelques photos du Grand-Bornand.

    Je souhaitais apporter une petite précision à nombreux de mes correspondants qui m'imaginent vivre dans la neige et le froid. Ce n'est pas du tout le cas, je suis à 450 m d'altidude, dans un climat généralement bien plus clément qu'à certains endroits de France. Si vous passez à Annecy vous verrez qu'il n'y a pas de neige. Il faut monter à 800 m pour commencer à en trouver. Je me trouve à environ 1 h de toute piste de ski.
    Donc pas de soucis pour moi, je n'ai pas froid, je n'ai pas de neige, celle que je vous ai montrée dans un post précédent est exceptionnelle et elle n'a pas duré. Ca n'arrive que quelques jours par hiver et j'espère bien qu'elle va revenir.
    D'ailleurs pour preuve que le climat est bon, on produit les bons vins de la région de Seyssel, Gamay, Mondeuse, Roussette, Mollette... tchin-tchinnnnnn...


     






  • Très belle histoire vécue de Corinne Hofman. En voici le résumé :

    Corinne, suissesse, séjourne au Kenya avec son ami Marco (voyage et safaris organisés – hôtel de luxe ). Dès qu'elle voit le guerrier massaï Lketinga, un homme très grand, très beau, c’est le coup de foudre ! Elle souhaite passer sa vie aux côtés de cet homme. Bien qu’ils baragouinent l'un et l'autre très mal l'anglais, la magie des sentiments opère.

    Eperdument amoureuse, elle quitte Marco, et revient 6 mois plus tard au Kenya pour vivre définitivement avec l'homme qu'elle aime malgré les difficultés dues essentiellement aux différences de culture (l’acte d’amour chez les Massaïs est par exemple, d’une brièveté déconcertante sans caresses ni baisers ; d’ailleurs, ils n’embrassent pas, la bouche servant uniquement à manger. Les cheveux et le visage sont également tabous…).

    Elle reviendra en Suisse vendre sa boutique de vêtements, son appartement, ses voitures. Cependant, de retour au Kenya, son ami aura disparu. Sans nouvelles, les courriers ayant été détournés par des amis jaloux, il s'était résigné à repartir dans sa brousse lointaine, à Barsaloi. Dès qu'elle le retrouve après plusieurs semaines de recherches acharnées et difficiles, elle s'installe avec lui et sa mère dans une minuscule hutte.

    Les conditions de vie sont difficiles, impensables pour un européen : faim, poussière, pas de sanitaires, l'eau doit être puisé au fleuve à quelques kilomètres de là, pas d'électricité, bêtes sauvages, promiscuité…
     
    Malgré de nombreuses difficultés administratives, Corinne et Lketinga parviennent enfin à se marier.


    Le village Massaï est si loin de toute civilisation que Corinne décide d'acquérir un 4x4, puis de monter un magasin.
    La vie dans la brousse présente nombre de risques. Outre les accidents de voiture sur les pistes défoncées, Corinne enchaîne gale, malaria, hépatite… Elle en perd presque son bébé.


    A court d'argent, elle décide de retourner à Monbasa et d'ouvrir un magasin de souvenirs. Les affaires tournent bien mais la jalousie de son mari trop souvent sous l'emprise de la drogue et l'alcool, rend la vie impossible et elle est obligée de fuir après 4 ans passés en Afrique. Maintenant, divorcée, elle continue à soutenir la famille de Lketinga.

    Corinne a tout sacrifié pour l'amour de cet homme, de sa famille et de son village. Mais leur amour n'aura pas résisté au choc des cultures.   Elle a écrit un second livre que je n'ai pas encore. J'en parlerai dès que je l'aurai lu, il s'agit de "Retour d'Afrique". Un 3ème est également paru, "Retrouvailles au Kenya" dont je parlerai aussi.

    J'ai beaucoup aimé cette très belle histoire d'amour qui nous apprend beaucoup sur la vie et les moeurs de ce peuple massaï.